Minha história
Você quer saber quem eu sou e como cheguei aqui?
Fique à vontade e descubra minha jornada!
Quem sou eu ?
Sou Elsa, uma jovem de trinta e poucos anos de origem portuguesa.
Com mais de 12 anos de experiência no setor bancário, tive a oportunidade de ter uma carreira rica que me permitiu adquirir competências comerciais, análise de risco e recursos humanos generalistas.
Como Ringana entrou na minha vida?
Como cada vez mais pessoas, tive um clique há 2 anos que me fez perceber que por muito tempo eu usava produtos petroquímicos que não eram realmente o que era melhor para o meu corpo. Por isso iniciei a minha procura por produtos naturais há 2 anos, depois de centenas de tentativas tive a oportunidade de descobrir esta magnífica marca graças ao meu atual mentor que despertou o meu interesse nesta marca única e visionária na Europa. desde 1996.
Aussi loin que je me souvienne, c'est la joie de vivre et l'humour qui ont été ma bouée de survie.
Ma vie a eu la chance de connaitre les extrêmes, pour aujourd'hui atteindre le curseur d'équilibre sur bon nombre de choses que j'avais à travailler sur moi (mais c'est loin d'être fini puisque j'apprendrai jusqu'à ma mort).
Il n'empêche qu'avant d'être la femme libre d'aujourd'hui, j'étais une enfant (très) timide.
Avant de m'épanouir pleinement avec mon Academy, j'ai appris (souvent dans la douleur) et ai grandi professionnellement pendant mes 14 années de bons et loyaux services au sein d'une grande banque française en rouge et noir (et c'est pas la banque de Jeanne Mas😂).
Avant d'avoir un environnement sain pour moi, j'ai beaucoup souffert d'amours et d'amitiés comme un vieux film qui se répétait en boucle.
Alors comment j'en suis arrivée là ?
Si tu n'es pas encore installée, prend le temps de le faire, j'aime donner les détails.
Retraçons l'histoire ensemble (mais promis, j'essaie de synthétiser au max).
Mon enfance, si je reste à la surface de l'iceberg, je dirai qu'elle a été heureuse. J'étais pourrie gâtée (matériellement) par mes parents qui ont travaillé dur pour que je ne manque de rien (et que je ne connaisse pas la misère qu'ils ont connu enfant avec la dictature de Salazar). J'avais des amis, la petite sœur que j'avais demandée, bref tout ce qu'une enfant pouvait souhaiter. Et c'est l'histoire que je me suis racontée pendant des années. Le "pas ouf" ce n'était pas si grave finalement.
Sauf que ce "pas ouf" était clairement ce qui allait constituer mes plus gros traumas à travailler à l'âge adulte (et je l'ai compris que des décennies après bien évidemment).
L'image du couple par mes parents qui malgré leur réel amour sincère banalisaient les désaccords par les disputes, les cris et la violence. Que l'adultère existe et que la femme doit tout faire à la maison. Que l'homme en besoin d'amour peut dépasser les limites et qu'il a son mot à dire sur comment agir, parler ou s'habiller.
Je te le donne en mille ma vie sentimentale a connu quelques relations toxiques et pleines de souffrances avant de "régler" tout ça 😅
À côté de ça, ma scolarité, c'est elle qui a le plus contribué au fait que j'ai décidé de créer ma propre école du bonheur.
Je suis ce genre de personne qui apprend très très vite si elle aime le sujet, et qui doit relire 100 fois la même phrase pour la comprendre si elle n'aime pas ou que ça ne l'intéresse pas.
J'avais les moyennes exigées par ma mère (pour ne pas me faire défoncer😂) mais ça s'arrêtait là. Mes bulletins étaient tous les ans identiques : "bavarde" et "peut mieux faire !"
Je garde les souvenirs de kiff à la récré, les fous rires avec les camarades de classe devenus ami(e)s, la régalade quand je pouvais essuyer le tableau de la maitresse, écrire à la craie ou faire des exposés sur les sujets qui me passionnaient devant la classe (conférencière avant l'heure ?🤔😂).
Je me souviens aussi des angoisses d'être interrogée par les profs, les mauvaises notes de mes oraux, liées, comme quand on m'interrogeait par surprise au tableau, à mon cerveau qui s'éteignait par la peur d'être jugée si je me trompais.
Ce perfectionnisme qui a guidé toute ma vie, clairement lié à une branche de mon éducation : c'est pas assez !
Des parents qui m'ont éduqué du mieux qu'ils pouvaient et qui m'ont permis d'être cette femme avec une vraie valeur du travail, un altruisme et une empathie avérés, un attachement au respect et mon amour des moments de partages et célébrations joyeux.
Mais qui avaient également mis de grandes responsabilités sur mes épaules : celle de devenir la 2ᵉ maman de ma sœur, de devenir le médiateur (ou bouclier) de leur couple, de gérer tout l'administratif de la famille (étant la seule à bien écrire le français) et à devenir cette enfant parfaite que tout parent rêverait d'avoir pour la montrer au monde comme un trophée sans faille.
C'est ainsi que j'ai appris à devenir l'enfant modèle (mes bêtises étaient assez gentillettes), puis l'amie parfaite, la salariée parfaite, la chérie parfaite, la collègue parfaite, etc, etc...
Par parfaite, j'entends que j'ai appris à plaire aux autres puisque j'avais été bercée inconsciemment à ne pas dire ce que je pensais ou du moins à ne pas exprimer quand rentrer dans le moule n'était pas possible pour moi. J'ai développé une super capacité d'adaptation, un caméléon, capable d'utiliser les parts de moi qui plairaient tout en cachant toutes les autres qui pourraient déranger.
Poussé à l'extrême après des décennies de pratique dans ce schéma, le constat était sans appel : je vivais à travers et pour les autres.
Mon bonheur était lié à "l'autre". Peu importe le domaine de vie, si ça n'allait pas avec "l'autre" alors, j'allais mal.
C'est ainsi qu'une rupture amoureuse devenait une très grande dépression profonde. Que les trahisons en amitié feraient exploser la colère encaissée sur la durée de l'amitié. Qu'une mauvaise relation de travail me ferait devenir la pire des collègues etc etc ..
Je me nourrissais du bonheur des autres. Je me dévouais à leur bonheur. Si je les voyais bien, j'étais bien. S'ils étaient mal, je vivais leur mal-être. C'est bien des années plus tard que je comprenais que tout ça était lié à mon hypersensibilité, ma non-estime de moi, à de la dépendance affective, ma peur du rejet et de l'abandon etc etc
Pourquoi je te raconte tout ça ?
Pour poser le contexte.
Parce que ma vie professionnelle d'aujourd'hui est devenue une évidence.
L'histoire de ma vie au service de ceux qui le voudront.
Je n'ai pas eu toutes les problématiques, mais j'ai eu de grosses épreuves de vie (je t'épargne ici le trash) qui m'ont permis d'apprendre.
Cette souffrance mise sous le tapis ferait que j'étais devenue ce genre de personnes où tout est blanc ou noir !
Pleine d'égo ou de fierté (on met le mot qu'on veut dessus), rancunière, têtue, impulsive, sur la défensive, jalouse, possessive. Ma vérité était forcément la vérité.
J'avais (et j'ai encore) des défauts comme tout le monde.
Mais est venu ce jour où toute la souffrance ressentie, tout ce mal-être qui me rongeait de l'intérieur était devenu trop lourd à porter. J'étais épuisée.
Alors, sans savoir ce qu'est le développement personnel, j'ai commencé à demander de l'aide à des professionnels. Une sophrologue, une hypnothérapeute, une coach consultante, un mentor, autant de personnes qui allaient sur le moment où j'en avais besoin m'aider à passer ce plafond de verre que seule, je n'arrivais plus à exploser.
En parallèle, j'avais eu l'immense chance d'avoir un parcours atypique dans le milieu bancaire. De plusieurs postes en agence, j'étais passée au service des risques puis j'ai terminé ma carrière en ressources humaines. Autant de métiers différents qui allaient m'apporter des outils et des compétences que je mets aujourd'hui au service de ceux que j'accompagne.
Mais alors comment et pourquoi j'ai décidé de quitter un poste hyper confortable avec tous ses avantages pour une voie risquée ?
Sincèrement, je suis encore aujourd'hui fière du courage que j'ai eu. Moi, meuf ultra-sécuritaire qui déteste l'imprévu, j'avais réussi à partir d'un milieu dans lequel mon bien-être n'était plus et les valeurs opposées (attention, je parle bien de ma place et mon ressenti).
J'avais à l'époque un complément de revenu avec la collaboration d'une société autrichienne qui me permettait de m'épanouir dans une branche complétement différente : la prévention et l'accompagnement du bien-être corporel.
Je touchais entre 350 € et 700 € en faisant ça de façon aléatoire les soirs & week-end (mon exutoire pendant la période COVID) alors c'était mon plan : développer cette activité à temps plein pour me constituer des revenus grâce à ce métier passion.
À l'époque, j'étais partie vivre à Londres pour suivre mon conjoint de l'époque et je comptais explorer le marché britannique.
J'étais pleine d'ambition ! Sauf que la vie en a décidé autrement 😂.
Cette relation avait pris une tournure qui me faisait souffrir à un tel point que je suis rentrée en France et j'ai pris la décision d'y mettre un terme.
Là commencerait un cheminement imprévu.
Un travail sur moi à vitesse grand V dans l'inconscient. Tu sais comme si tout ce que j'avais appris sur moi jusqu'à ce moment-là était l'apéro, sauf que la vie avait décidé de me servir entrée + plat + dessert en même temps. Mal de bide assuré, mais en même temps, j'étais rassasiée 😅 (genre, je ne suis pas bien, mais putain que j'ai bien mangé!) #queendesmetaphores 😂
Cette année qui allait enclencher mes plus profondes transformations : la version 2.0 d'Elsa.
C'était génial pour moi, moins pour mon entourage qui ne comprenait pas tous ces changements hyper soudain : "elle a craqué son slip !" ( ça, c'est pour la version soft) mais on était plus sur des compliments du genre : t'est devenue méchante, égoïste, t'est tombée dans une secte, on te manipule, etc etc...
Le double effet kiss cool : non seulement je me confrontais à mes blessures et mes parts d'ombres, mais mon monde extérieur qui ne comprenait pas ce qu'il se passait me balançaient leurs peurs à la gueule pour me faire comprendre qu'il serait mieux que je fasse machine arrière.
Ma fierté ? Avoir tenu bon ! Étant la reine de l'auto-sabotage et des peurs illimités, j'ai eu envie de baisser les bras plus d'une fois, mais un truc au fond de moi m'en empêchait : je savais que j'étais sur le bon chemin et que malgré les obstacles, je goutais à une forme de bonheur que je ne connaissais pas avant : celui de m'écouter et de faire ce qu'il me plait.
Année suivante : c'est bon, j'ai bossé sur moi, maintenant reprenons le pro ! (qui soit dis en passant était ma plus belle réussite, la seule sphère dans laquelle j'avais eu confiance en moi tout au long de ma vie). Et devine quoi ?
Bah non toujours pas le moment ! 😂
J'ai eu le niveau 2 de l'année précédente, mais c'était subtilement différent. Je continuais la course à mon développement perso MAIS j'avais, pendant une méditation, eu "l'idée" de mon Academy.
Utiliser mes 3 grandes zones d'expertises au service du monde dans mon Academy bien-être 360® ! Mon école du bonheur qui serait à l'image que l'école que j'aurais toujours rêvé d'avoir.
Celle où on t'apprend les vraies choses de la vie (pas le théorème de pythagore quoi😂).
Sauf que cette Academy, elle m'a donné du fil à retordre.
Et c'est au bout d'un an de modifications, de simplification, de prise de recul que je me suis rendu compte que : punaise, c'est facile de vendre le produit ou service d'un autre, mais nettement plus difficile de "se vendre" quand on n'a aucune estime de soi !
Débarque à ce moment-là toute la famille sabotage : Légitimité (le père), Doutes (la mère), Peurs (le fils), perfectionnisme (la fille) et sur-adaptation (le petit dernier).
Autrement dit, des nouveautés dans la sphère du pro, en tout cas dans la communication de ce que je fais.
J'avais inconsciemment mis dans ma com tout ce que je sais faire (en mode catalogue teleshopping très très diversifié qui rendait mon métier incompréhensible pour les gens) mais qui confortait ma non-estime de moi que j'étais une vraie professionnelle compétente qui pouvait aider les autres sur pleins d'expertises complétement différentes.
Les doutes sur mes capacités qui pour moi n'étaient pas exceptionnelles (je fais tout naturellement, parfois depuis toujours, et me forme sans difficulté).
Les peurs qui venaient me paralyser : et si je réussis ? et si ça ne fonctionne pas ? et si je ne gagne pas assez avec ça ? pourquoi les gens me choisiraient moi ?
Le tout saupoudré de ma créativité (perfectionniste) débordante qui a rempli des heures et des heures de modifications de site et réseaux en tout genre au fil de mon évolution.
Suradaptation est le petit dernier. Cet ancien schéma de caméléon qui avait pris sa place dans la famille. Celui qui me ferait douter sur tout ce qu'on entend dans le milieu du business : il faut s'adapter à sa cible !
Je remercie grandement cette famille sabotage qui m'a permis de grandir encore plus.
Celle qui me conforterait que même dans le pro, je dois uniquement faire les choses qui me font vraiment vibrer, à ma sauce et sans prendre pour argent comptant TOUS les avis/conseils (qui seront forcément tous différents puisque nous avons tous une vision unique).
Je peux enfin ne plus faire tout ce que je sais faire, mais ce que j'aime faire !
Pouvoir offrir toutes mes compétences, apprentissages et les différentes visions que j'ai croisé sur mon chemin.
Mettre toutes mes capacités extrasensorielles et mes différences, au service de ceux qui trouveront en moi la main tendue que j'ai moi-même trouvée chez d'autres.
Partager les dualités qui ont dicté ma vie dans la vulnérabilité et l'authenticité.
Assumer mon côté rebelle et partager cette croyance, via mon filtre certes, que la vie n'est pas toute rose, mais elle n'est certainement pas toute blanche ou toute noire. Elle est faite de notre propre nuance de gris unique et magnifique.
Tout ça dans l'optique simple d'avoir l'honneur d'accompagner ceux qui, à leur tour, voudront atteindre un niveau supérieur de bonheur.
Ceux qui voudront se choisir, se mettre au centre de leur vie en se délestant des étiquettes qu'ils ont dues trop longtemps porter.
Ceux qui, plutôt que de se limiter à une sphère de vie (pro, amour, perso…), voudront se comprendre eux-mêmes (puisque nous sommes le point commun de toutes nos sphères de vie).
J'ai cette faculté de passer par le corps (via les soins corporels thérapeutiques) ou par la tête (par les accompagnements) ou les deux, et les offres tourneront autour de ça.
Le reste sera comme je sais si bien le faire : 100 % sur mesure en fonction des besoins de la personne.
Je me suis "perdue" dans la recherche d'une méthode/ truc unique, à mon image (j'aime l'originalité et ne pas faire "comme les autres"). Puis j'ai compris, que je n'avais pas besoin de tout ça puisque je suis unique, donc même si je n'invente rien, j'ai à ma disposition une façon de faire et une personnalité qui sont uniques puisque je suis la seule à être moi.
(et je te l'accorde, avec cette explosion d'accompagnants du bien-être en tout genre, il est très facile de se perdre)
Je n'ai rien inventé, mais j'ai une vision unique de tout ce que j'ai appris en parallèle de mes expériences de vie.
Si tu cherches un magicien, je ne suis pas la personne adaptée !
Mais si on se choisit mutuellement, je te fais la promesse de mettre tout mon amour et mon énergie à ton service. Parce que t'accompagner dans le cheminement d'être (un peu plus) toi-même et co-construire ton nouveau niveau de bonheur à 360° est ma priorité.
Alors un conseil : si vient le moment (et ce n'est pas une obligation) de commencer un nouveau chapitre dans la connaissance de toi-même et que tu te sens perdu(e) dans l'abondance de tout ce qui se présentera à toi, fermes les yeux. Respire, fais le vide et pose la question à ton intuition : tu sauras !
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Avec tout mon amour,
Elsa
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